
FAIM DE JUSTICE POUR LA PALESTINE
Les 10 et 11 avril passait à Rennes un groupe de grévistes de la faim, parmi lesquels un médecin urgentiste intervenu comme soignant dans la bande de Gaza.
Leur témoignage, précis, émouvant, indispensable a pu être entendu au Polyblosne, place de la République, à l’université de Rennes 2. Il aurait pu être relayé par les médias : une conférence de presse à la Maison Internationale de Rennes avait été programmée. Aucun journaliste d’aucun média audiovisuel ou écrit ne s’y est présenté. Un appel au standard de la rédaction de France 3 Bretagne se heurtait à la réponse suivante : “Gaza ? Ça n’intéresse pas les Bretons”, l’interlocuteur raccrochant brutalement.
Un employé de la rédaction de France 3 peut ainsi décider de ce qui intéresse ou non “les Bretons” : initiative personnelle ou choix de la rédaction ?
Depuis le 7 octobre 2023, 259 journalistes palestiniens ont été tués par l’armée israélienne pour avoir fait leur travail : informer le monde sur la guerre israélienne contre le peuple palestinien. Ce que la Cour Internationale de Justice caractérisait il y a plus d’un an déjà comme constitutif de crime d’agression, crimes de guerre, crimes contre l’humanité, avec suspicion de crime de génocide.
Comment expliquer que cela n’intéresse pas – non “les Bretons” – mais les médias, leurs rédactions, les journalistes qui les constituent ?
Que disent les grévistes de la faim ?
5. Un cessez-le feu immédiat et l’entrée massive de l’aide humanitaire
6. L’arrêt de toute coopération militaire et économique avec Israël
7. L’arrestation des personnes responsables visées par les mandats de la
Cour Pénale Internationale.
8. Une solution politique respectueuse des droits et devoirs de chaque
entité dans le respect du droit à l’autodétermination Partis de Marseille le 31 mars, dans une démarche transpartisane convaincue, “non-violente,
apolitique, laïque, sans aucune étiquette” ils ont entamé un Tour de France pour tenter de secouer la chape de silence qui masque le génocide en cours. Ils sont témoins de ces morts par dizaines de milliers, de ces blessés qui meurent faute d’eau propre, d’abris sains, de médicaments, de
dispositifs médicaux élémentaires (comme des garots), d’infections qui seraient pourtant maîtrisables dans les conditions d’une guerre “ordinaire”… Mais il ne reste dans la bande de Gaza aucun hôpital : tous ont été rasés par les bombardement de l’armée israélienne. Aucune aide
humanitaire n’entre plus depuis la rupture de la trève par le gouvernement de Nétanyahou et de ses alliés. La faim est devenue une arme de la guerre génocidaire et laissera des séquelles durables pour toutes les victimes, particulièrement les enfants.
Qu’exigent-ils des représentants de l’État et des instances internationales ?
L’INDIFFÉRENCE, LA LÂCHETÉ, L’ABSENCE DE CONSCIENCE MORALE SONT CRIMINELLES ! NUL NE POURRA DIRE QU’IL NE SAVAIT PAS !
À RENNES, PRENONS NOTRE PLACE DANS CE COMBAT POUR LE DROIT ET LA JUSTICE !
APPEL POUR L’ORGANISATION CITOYENNE D’UN JEÛNE PERMANENT SOUS FORME DE RELAI, SUR LES PLACES PUBLIQUES, LES LIEUX DE POUVOIR, LES INSTANCES REPRÉSENTATIVES
Des infos des grévistes de la faim :
https://hungry-justice-palestine.org/
Demander des infos sur les modalités de la participation à Rennes, s’inscrire : https://rennespalestine.fr/contact/ou contact-afps@rennespalestine.fr
Pétition à l’initiative de
l’AFPS, de la LDH et de la
FIDH : SIGNEZ !
GAZA STOP GÉNOCIDE !
Comité Rennais de l’AFPS https://rennespalestine.fr/
FB : AFPS.rennes
11 rue de Flandre
NE PLUS FERMER LES YEUX !
EXIGER DU POUVOIR POLITIQUE QU’IL PRENNE SES RESPONSABILITÉS !
SE TAIRE, C’EST ÊTRE COMPLICE !
FAIM DE JUSTICE POUR LA PALESTINE
Les 10 et 11 avril passait à Rennes un groupe de grévistes de la faim, parmi lesquels un médecin urgentiste intervenu comme soignant dans la bande de Gaza.
Leur témoignage, précis, émouvant, indispensable a pu être entendu au Polyblosne, place de la République, à l’université de Rennes 2. Il aurait pu être relayé par les médias : une conférence de presse à la Maison Internationale de Rennes avait été programmée. Aucun journaliste d’aucun média audiovisuel ou écrit ne s’y est présenté. Un appel au standard de la rédaction de France 3 Bretagne se heurtait à la réponse suivante : “Gaza ? Ça n’intéresse pas les Bretons”, l’interlocuteur raccrochant brutalement.
Un employé de la rédaction de France 3 peut ainsi décider de ce qui intéresse ou non “les Bretons” : initiative personnelle ou choix de la rédaction ?
Depuis le 7 octobre 2023, 259 journalistes palestiniens ont été tués par l’armée israélienne pour avoir fait leur travail : informer le monde sur la guerre israélienne contre le peuple palestinien. Ce que la Cour Internationale de Justice caractérisait il y a plus d’un an déjà comme constitutif de crime d’agression, crimes de guerre, crimes contre l’humanité, avec suspicion de crime de génocide.
Comment expliquer que cela n’intéresse pas – non “les Bretons” – mais les médias, leurs rédactions, les journalistes qui les constituent ?
Que disent les grévistes de la faim ?
5. Un cessez-le feu immédiat et l’entrée massive de l’aide humanitaire
6. L’arrêt de toute coopération militaire et économique avec Israël
7. L’arrestation des personnes responsables visées par les mandats de la
Cour Pénale Internationale.
8. Une solution politique respectueuse des droits et devoirs de chaque
entité dans le respect du droit à l’autodétermination Partis de Marseille le 31 mars, dans une démarche transpartisane convaincue, “non-violente,
apolitique, laïque, sans aucune étiquette” ils ont entamé un Tour de France pour tenter de secouer la chape de silence qui masque le génocide en cours. Ils sont témoins de ces morts par dizaines de milliers, de ces blessés qui meurent faute d’eau propre, d’abris sains, de médicaments, de
dispositifs médicaux élémentaires (comme des garots), d’infections qui seraient pourtant maîtrisables dans les conditions d’une guerre “ordinaire”… Mais il ne reste dans la bande de Gaza aucun hôpital : tous ont été rasés par les bombardement de l’armée israélienne. Aucune aide
humanitaire n’entre plus depuis la rupture de la trève par le gouvernement de Nétanyahou et de ses alliés. La faim est devenue une arme de la guerre génocidaire et laissera des séquelles durables pour toutes les victimes, particulièrement les enfants.
Qu’exigent-ils des représentants de l’État et des instances internationales ?
L’INDIFFÉRENCE, LA LÂCHETÉ, L’ABSENCE DE CONSCIENCE MORALE SONT CRIMINELLES ! NUL NE POURRA DIRE QU’IL NE SAVAIT PAS !
À RENNES, PRENONS NOTRE PLACE DANS CE COMBAT POUR LE DROIT ET LA JUSTICE !
APPEL POUR L’ORGANISATION CITOYENNE D’UN JEÛNE PERMANENT SOUS FORME DE RELAI, SUR LES PLACES PUBLIQUES, LES LIEUX DE POUVOIR, LES INSTANCES REPRÉSENTATIVES
Des infos des grévistes de la faim :
https://hungry-justice-palestine.org/
Demander des infos sur les modalités de la participation à Rennes, s’inscrire : https://rennespalestine.fr/contact/ou contact-afps@rennespalestine.fr
Pétition à l’initiative de
l’AFPS, de la LDH et de la
FIDH : SIGNEZ !
GAZA STOP GÉNOCIDE !
Comité Rennais de l’AFPS https://rennespalestine.fr/
FB : AFPS.rennes
11 rue de Flandre
NE PLUS FERMER LES YEUX !
EXIGER DU POUVOIR POLITIQUE QU’IL PRENNE SES RESPONSABILITÉS !
SE TAIRE, C’EST ÊTRE COMPLICE !
Infos pratiques
23 avril 2025
12h00 / 18h00
Place de la République
Place de la République, 35000 - Rennes
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